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[ Poème ]
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Enfermée par ma pensée
26/07/2006 22:02
Marion si tu savait Tout le chagrin que j'ai Quand je t'ai apeller Après avoir raccrocher Je me suis mise a pleurer Je ne pouvait plu m'arréter comment en est tu arrivée là Comment à tu pu te faire ça? Je n'écoute plu ce ke l'on me dit, je ne mange pas Je pense sans cesse à toi Je ne sait pas quoi te dire Je n'arrive plus a sourrire Je ne pense même plus a Luca Je ne pense vraiment qu'a toi Tout le monde me demande ce que j'ai Ils veulent savoir ou tu est Mais je repensse a ce ke je t'ai promis Et je répète mon mensonge encore une fois "Elle est chez elle, juste un petit soucis, Mais bientôt,elle reviendra". Sauf que moi je sais Que tout cela n'est pas vrai Je me demande Quand je te reverrait La vie sans toi je ne peut suporter Marion si tu savait Tout le chagrin que j'ai...
Lise
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Vendredi soir
26/07/2006 22:18
Marion je ne dort pas Je pense sans cesse a toi Je ne sait pas quelle heure il est Je n'est même pas la force de regarder Je sais qu'en ce moment Tu est allongée dans un lit blanc Que tu est dans un endroit que tu n'aime pas Un endroit ou tu a froid Tout sa tu me l'a dit Et je sais que cette nuit Tu ne va pas bien dormir Tu ne va penser qu'a mourrir Je suis en train de pleurer Encore une fois pour toi Je ne peux plus m'arréter Je t'aime trop pour sa Et j'éspère que demain encore Je verrait ton coeur en or Je sais que malgrès ce que tu fait Tu est forte et tu peux rester Rester au moins jusqu'a demain Pour consoler mon chagrin Et pour te revoir enfin Toi que je n'ai pas vu ce matin Quand je t'ai apeller Et que tu m'a dit où tu était Mon coeur c'est arréter Dans mes veines, mon sang c'est glaçer Et pendant toute la journée Je n'ai pas arréter d'y pensser J'ai arréter de travailler Les profs se sont énervés Mais je n'est rien répondut C'est a peine si je les ai entendus Ils ont continuer a crier mais je ne les ai pas écouter J'était completement ailleurs J'érait avec toi et ton malheur Au téléphone tu m'avait dit Que dans une chambre, seule, tu attendait un psy Et a ce moment la j'ai fallit partir De l'endroit où j'était Partir sans prévenir Pour rester à tes côtés Rester le temps qu'il faudrait Jusqu'a ce que toi aussi Tu puisse avec moi rentrer Jusqu'a se que tu soit guérie Mais en attendant c'est là nuit Cette nuit qui jamais n'en finit Je voudrait tellement être demain Et te revoir enfin...
Lise
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Un peu plus tard
27/07/2006 13:36
Je ne dort toujours pas Je n'y arrive vraiment pas Je pense encore à toi Sans cesse et encore, je ne me lasse pas Dans mes pensées je suis éperdue Je repensse a quand on s'est connues J'avait tellement de souffrances Et toi tu m'a offert une délivrance J'était en train de repenser A la première fois que je me suis blessée Volontairement et de plein grès A la première fois que j'ai saigné Mais est-ce vraiment se libérer Que de se sucider?
Lise
Commentaire de Hamouza (29/04/2008 15:28) :
Merci Pour Les poeme
Chui hamza de maroc d el jadida =)
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La ou tu va mon coeur s'en va
27/07/2006 13:53
J'ai reussit de justesse à m'en sortir Mais toi que va tu devenir? Si tu continue dans cette voie Quest-ce qu'y t'arrivera? Esque penser à ton avenir Te fait vraiment trop souffrir? Ne peut tu vraiment pas imaginer Que ta vie va s'arranger? Q'un jour ton coeur Ne rimera non plus avec Malheur, érreurs et pleurs Mais avec Joie et Chaleur Douceur et Bonne humeur! Puisque maintenant Dans cet hopital tu a dut temps Puisque tu a des heures devant toi Réfléchit bien a cela Et sache que je ne ferait pas comme les autres gens Je ne te demanderai pas de rester dans le monde des vivants Je ne t'obligerai pas à rester sur cette terre Pas dans cette galère, dans cette misère Je te laisse le libre choix De savoir où tu vas Mais je veut que tu sacheque si tu venait à partir Pour de bon, sans plus revenir Il ne resterait de moi sur cette tere Que la petite trace dans un cimetière
Lise
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Conclusion
27/07/2006 14:12
J'ai brûler beaucoup de bougies Je suis rester éveiller toute la nuit A écrire tous ces poèmes Pour te faire comprendre ma peine Pour te montrer a quel point Pour toi, j'ai du chagrin
Je n'ai pas besoin de beaucoup d'inspiration Juste d'une feuille et d'un crayon Jai tellement de chose à te dire Que je préfère te les écrires De toute fassons je n'ai pas le choix Puis que tu n'est plus là
Cet endroit que tu détèste tant T'y voilà pour un moment Mais je t'en prie profite -en Repose toi, prend ton temps
La prochaine fois que je te verrait Ces poèmes je te les donnerai On les mettra dans le cahier C'est toi qui écrira, comme avant que tout est changer Comme avant, je corrigerai Et tu les écrira juste après
Je voudrait que tu sache aussi Que tu est comme mon ange gardien Qui veille sur moi la nuit Jusqu'au lendemain matin
Et même si tu est plûtot ange de la mort que de la vie Sa ne me cause aucun souci Car que je soit vivante ou morte De celà peu importe Car tant que je sent ta présence Je peut mourrir en toute confiance
Lise
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Ils sont si beaux
28/07/2006 12:38
Tes poèmes sont si beaux Ils sont si chauds Ils me sont tous destinés A moi qui n'est rien mériter Je ne comprend pas Ta souffrance a toi Moi je suis deux Une qui vit et une qui dit "A Dieu"! Moi aussi je pense à toi Moi aussi je pense comme toi Mais pas pour moi Juste pour une vie,une fille...toi! Moi je pourrait Paritr en paix Que le jour où je saurrait Que toi aussi tu a trouvé La petite voix Qui te dit de vivre pour toi Ou alors de mourrir Et de ne plus sourrire... Un poème de plus?! Et alors où va-t-il? Dans un cahier de plus... Qui va les lires? Les gens dans les îles? Ceux qui sont en vacances Et qui ont de la chance?! Non je ne pense pas Car ils ne sont pas comme toi et moi Ils sont heureux Et ne tienne pas à être malheureux...
Marion
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Partir sans mourrir
28/07/2006 12:49
En lisant ton poème j'ai envie de pleurer En ce moment je ne sait faire que sa Mais jamais je ne le ferait En tout cas pas dans cet endroit Cette nuit je n'ai pas dormi Et les nuits d'avant aussi J'ai les yeux éteinds et la peau blanche Et en plus de sa j'ai l'ésprit qui penche Vers des bêtises qu'il faut éviter Mais il n'y a rien pour m'arréter Ce week-end j'ai déjà commencer Et je crois que je vais continuer J'aimerais tellement trouver Quelque chose pour me calmer Mais j'ai beau réfléchir jour et nuit Rien d'autre ne me viens à l'ésprit Je pense d'ailleurs à Luca Je n'aimerai pas qu'il me voit dans cet état là Car il ne comprendrai pas Pourquoi je fait tout ça Personne d'ailleurs ne peut comprendre Ils sont tous là a attendre Que je leurs explique ce que j'ai Sans que j'arrive a m'exprimer Ma seule façon à moi de parler C'est ces poèmes dans ce cahier Mais maintenant je vais vous laisser Pour un moment je vaism'en aller Dans un instant je reviendrai J'ai juste besoin de m'échapper...
Lise
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Quesque je fait ?
28/07/2006 13:00
En lisant tes poèmes de l'hpoital On voit que la mort,pour toi c'est vital Mais quand je te regarde juste à l'instant Tu as aux lèvres un sourrire rayonnant L'apparence ne veut rien dire Je sais bien que ce n'est pas un sourrire Qui va prouver qu'on est heureuse Mais quand même, tu as l'air joyeuse Ha si je pouvait être moi aussi Dans un hopital comme celui-ci Au moins tu n'a rien a faire Il faut juste se taire C'est un endroit où je voudrait aller Juste un instant pour me reposer Mais pour cela il faudrait Que je soit au moins blesser Et comme je n'ai rien sur le corps On ne m'y enverra pas encore On m'a dit des milliers de fois de ne pas me blesser Qu'il fallait autre chose pour remplacer Aytre chose, mais quoi? Franchement je ne trouve pas L'alcool j'ai tester un moment Mais sa ne va pas ;franchement !! Je n'ai aucune idée A part veiller Alors je ne dort plus du tout Mais tout ça, ça me conduit où? De ma vie, quesce que je fait? Je croit que je suis en train de l'abimer...
Lise
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28/09/2006 18:40
La misère du monde
Quand on me dit parfois Que jai de la chance d'être née là Et pas dans un pays où on meurt de faim Et où on travaille du soir au matin Moi je répond que vous avez tort Car ces gens sont plus heureux que moi encore Moi je les ai vus les petits africains Ceus qui n'ont pour destin juste un quignon de pain J'ai vecut avec ces enfants Qui pase la journée en chantant Et je peur vous assurer que les Europèens Sont bien plus malheureus que les africains Car ils regardent leurs petites misère Sans s'occuper du reste de la terre Mais les pauvres, eux sont ouverts A tout ce qui peut leurs être offert
Lise
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